Vivre à l’étranger

Vivre à l’étranger

Lorsque nous nous lançons dans une nouvelle aventure, nous sommes ravis, nous imaginons les choses toujours faciles et parfaites.

Même si notre entourage essaye de nous mettre en garde sur les difficultés éventuelles que nous pourrons rencontrer, notre imagination et notre excitation sont plus fortes que tous les conseils pratiques.

Souvent nous ne voyons pas à l’avance les inconvénients de la réalité qui n’est pas toujours cool et funky comme elle s’était présenté dans nos rêves.

Il faut distinguer les aventures que nous vivons pour de courtes périodes, comme celles des voyages par exemples, qui nous permettent de nous confronter avec des réalités différentes, des cultures différentes, des paysages magnifiques et des lieux enchantés, de la nourriture exotique. Même pour vivre tout ça pour quelques semaines, il faut avoir un esprit ouvert et une grande capacité d’adaptation !

J’en ai entendu des histoires de gens qui pensent êtres de grands voyageurs et qui finissent pour aller chercher la nourriture de leur pays dès qu’ils trouvent le premier restaurant de chez eux à proximité.

En effet il n’y a pas de règles qui valent pour tous. Sans aucun jugement je voulais juste arriver à faire comprendre à quel point un vrai changement de vie dans un autre pays à l’étranger peut être une aventure bien plus grande que vivre un voyage normal.

J’ai fait plusieurs voyages dans ma vie mais pas encore assez pour mes goûts, j’aimerai en faire encore beaucoup.

Sans doute les voyages qui m’ont marquée le plus étaient ceux où j’ai passé plusieurs mois dans un lieu où l’expérience a pu s’ancrer profondément en moi et m’a permis d’explorer, non seulement toute la beauté liée à la culture et aux paysages différents, mais qui m’a surtout donné la possibilité de me connaître encore plus en profondeur dans des circonstances hors contexte que je n’aurais pas pu connaître autrement si j’étais restée à la maison.

Venons-en au déménagement à l’étranger. Pour moi tout a commencé comme si je partais pour un nouveau voyage aventureux.

Je suis arrivée en Suisse pour rendre visite à un ami qui est devenu ensuite mon époux et le père de mes enfants.

Jamais j’auras pensé que j’y serai restée une si grande partie de ma vie.

Bientôt je fêterai 20 ans de résidence en Suisse.

Comme je disais je suis arrivée avec ma valise et plein d’énergie afin de vivre une nouvelle aventure avec mon amoureux.

Au début tout était facile et rigolo, l’histoire d’amour, la découverte, l’admiration des lieux enchantés, les montagnes, la nature sauvage et majestueuse, la neige, le lac, les arbres !!

J’étudiais pour terminer mon diplôme universitaire en Italie et donc les premiers mois ont passés rapidement. De plus je commençais à connaître tous les amis et collègues de mon mari, toute la communauté liée à son travail et à participer aux évènements, aux sorties entre amis, aux fêtes.

C’était une chouette aventure sur tous les points de vue.

Le jour est arrivé où j’ai décidé de rester vivre en Suisse. J’étais aux étoiles !!

Chaque rêve qui se respecte a aussi une autre facette qu’on n’a pas considéré à l’avance, car parfois on s’embarque dans un beau projet sans trop penser aux conséquences. Je me réfère à certains aspects de la vie privée et professionnelle que je n’avais pas trop considérée, voir même sous-estimée.

La première année est souvent considérée comme une période d’adaptation où l’on vit le fameux « choc culturel » défini comme un sentiment de confusion qui résulte de l’expérience soudaine d’une culture avec des coutumes qui ne vous sont pas familières.

J’avoue que c’est vrai, même si quand j’ai vécu ça en première personne je me disais : « je souffre, j’aimerais vite rentrer chez moi, j’en ai assez de me sentir en défaut, d’être considérée comme différente, de devoir me battre pour me faire connaitre, comprendre, apprécier, respecter » !

Naturellement lorsque nous vivons chez nous, nous devons aussi nous confronter à la société et à faire face à la réalité et aux difficultés de chez nous, mais dans une autre société étrangère la chose se complique, car les différences sont multiples :  langue, coutumes, culture, habitudes ; les efforts pour se faire accepter représentent le double et en plus il n’y a personne qui vous connait, qui peut donner des références.

Pendant la première année de ma nouvelle vie en Suisse, j’étais considérée comme une immigrée venant d’Italie « pour vivre auprès du conjoint », ah oui en effet c’était lui le garant avec son compte bancaire, son travail, son domicile !

Cette définition je la portais comme un timbre qui n’était pas marqué seulement sur mon permis de séjour pour étrangers mais aussi sur mon cœur. Il affectait à ma fierté de femme libre et indépendante, car je ne voulais pas être à ce point dépendante de quelqu’un d’autre, même de mon mari.

Je me suis toujours considérée comme une personne autonome et responsable pour moi-même, capable de trouver un travail et gagner de l’argent.

Ma mission était devenue chaque jour de m’investir, afin de trouver un travail.

J’avais un diplôme universitaire en droit international, je parlais 4 langues étrangères, dont l’allemand et j’avais plein d’aspiration à travailler dans le milieu international de l’ONU ou des ONG. Puis j’ai dû me remettre en question en m’adaptant aux circonstances et aux offres du marché du travail qui à l’époque me considérait surqualifiée en tant qu’immigrée.

Grace à ma capacité à trouver des solutions sans tomber dans l’auto-commisération et dans le rôle de victime tout court, je me suis inscrite à un cours d’anglais où j’ai connu un jeune manager qui travaillait dans une société américaine à Genève. Il m’a conseillé d’envoyer mon cv aux ressources humaine de son entreprise, car ils cherchaient une assistante RH.

Je serai toujours reconnaissante à l’égard de cette personne qui m’a aidée et motivée à me mettre en action et vis à vis de la compagnie qui m’a concrètement donné cette opportunité. Elle m’a ensuite permis d’ouvrir les portes du marché du travail et m’a rendu crédible pour la société Suisse.

Mon expérience professionnelle a été assez précaire au début, car mes contrats étaient toujours de durée déterminée ou des missions temporaires que j’acceptais pour montrer mon côté respectueux, d’adaptation. Je n’avais pas trop de prétentions, une fille sage qui ne dérange pas, qui travaille dur, car elle ne voudra jamais dépendre du système ou de qui que ce soit.

Mes idées, mes croyances que j’avais développées dans mon passé me portaient à croire que garder un profil bas était la meilleure des choses à faire, afin de m’intégrer et de me créer une place personnelle et professionnelle.

Le problème est que les années ont passé et les expériences professionnelles que j’avais vécues ne me correspondaient plus vraiment. A un moment donné j’ai commencé à m’interroger sur les raisons pour lesquelles j’occupais des postes qui ne me valorisaient plus en tant que professionnelle, où je ne me sentais pas à ma place.

Devant m’occuper de mes enfants et n’ayant pas eu d’aide de ma famille basée en Italie, « j’ai dû travailler à temps partiel » c’est la phrase que je me suis répété plusieurs fois dans ma tête pour me justifier le fait que j’avais accepté des positions dans l’administration, même si par éducation, formation et expériences, j’aurais pu avoir des positions de responsable.

Cependant je ne me suis pas assez mise en valeur pour m’accorder ces rôles, par manque d’estime de soi et je me suis retrouvée à vivre la frustration et à devoir trouver la façon de devenir plus responsable de moi-même et de mes choix, apprendre à mettre des limites, à dire non, lorsqu’un job ne correspondait pas à mon profil.

Parfois il faut prendre des risques !

Aujourd’hui avec la distance de temps, avec le recul, je peux dire que j’ai fait un long chemin d’apprentissage qui m’a amenée à trouver un emploi qui me plait, que je fais avec amour et passion depuis des années dans un cadre qui me correspond parfaitement bien.

Je suis fière de mon parcours et d’avoir trouvé la force de me remettre aux études pour m’ouvrir à d’autres possibilités.

Maintenant je ne sais pas combien de temps ça va prendre d’arriver là où je veux être. J’ai clairement une vision claire dans mon esprit et je travaille dur pour sa réalisation.

Je suis déterminée à persévérer avec motivation et jamais je n’assujettirai le choix de ma vie et de mon destin à quelqu’un d’autre.

Nous avons toujours le temps de changer de direction si nous nous apercevons que là où nous sommes en ce moment, n’est pas le bon endroit ou que ça ne nous convient plus.

J’espère que mon témoignage pourra vous motiver à lutter pour vos rêves, à rêver grand, à imaginer et à vivre déjà en positif les résultats que vous voulez obtenir dans votre vie sans oublier de mettre aussi en comptes les inconvénients.

Connaissez-vous bien votre corps ?

Qu’est-ce que notre corps nous communique?

Etes-vous à l’écoute de ce que votre corps vous communique à travers la douleur ou allez-vous immédiatement acheter des médicaments ?

Être en contact avec son propre corps et apprendre à l’écouter peut beaucoup dire sur notre état émotionnel.

Lorsqu’il y a un conflit entre la personnalité et l’âme, l’énergie est bloquée dans un niveau du corps et la maladie fait son apparition.

Comprendre les messages du corps et son langage corporel peut nous apprendre à clarifier ce qui se passe en nous et à libérer les tensions souvent générées par des émotions ou par des pensées oppressantes. Nos peurs inconscientes émergent aussi à travers le corps.

Le corps crie ce que les mots n’arrivent pas à exprimer verbalement.

Le nez coule quand vous ne pouvez pas pleurer, ou quand il y a beaucoup trop de confusion ; dans ce cas, il serait envisageable de prendre plus de temps pour vous, de réfléchir et de faire le point sur la situation particulière.

La douleur dans la gorge devient aigüe lorsque nous ne nous sentons pas libres de dire notre vérité.

L’estomac a du mal à digérer les réalités de la vie qui ne nous plaisent pas.

Le corps grossit quand nous nous sentons peut-être coincés par l’insatisfaction, ou quand nous avons besoin de plus d’espace, quand nous ne savons pas comment le satisfaire autrement. Parfois cela peut aussi cacher de fortes sensibilités et nous nous protégeons en mettant du poids.

La tension augmente lorsque la peur nous emprisonne.

Les genoux font mal quand peut-être notre fierté ne nous permet pas de lâcher prise.

Le corps nous envoie ces signes lorsque nous persévérons dans les mêmes schémas et que nous ne les regardons pas en face. Ils ne disparaissent pas et ils peuvent même s’empirer s’il n’y a rien qui change.

Souvent quand il y a de drôles de douleurs (des tensions) qui apparaissent à l’improviste, je reste à l’écoute et j’observe si j’ai pensé à quelque chose qui m’a fait souffrir ou si j’ai mangé quelque chose qui n’était pas bon pour moi, je me demande si ce que je ressens n’est pas lié à une réaction émotionnelle, au comportement de quelqu’un que j’ai considéré comme désagréable et qui a réveillé quelque chose de non résolu en moi. 

En pratiquant l’automassage et en reconsidérant mes pensées, mes émotions, mon langage intérieur en faisant attention aussi à une nourriture adéquate souvent mes douleurs passagères disparaissent.

Il y a eu une phase de ma vie où je souffrais de sinusite aigüe. A l’époque, pour faire passer ma douleur, je ne voyais pas d’autres solutions que d’immédiatement avaler des médicaments puissants.

Je savais au fond de moi que les cachets allaient soigner le symptôme mais pas la cause. Puis j’ai commencé à m’interroger pour comprendre d’où venaient ces douleurs de tête qui bloquaient mes sinus.

J’ai compris que mes pensées prenaient trop de place et parfois qu’elles étaient hyper envahissantes. Il y avait une vraie surcharge de données !!

Il fallait que je fasse une mise à jour de mon ordinateur mental avec un nouveau programme plus moderne !!

Le fait d’en devenir consciente a déjà mis en place un travail d’auto-guérison puis j’ai commencé à pratiquer régulièrement de la méditation, du yoga, à arrêter de me percevoir comme une victime, et depuis je n’ai plus jamais souffert de sinusite.

J’ai appris avec le temps à comprendre mon corps et à rentrer en contact avec mes besoins cachés.

Naturellement si vous suivez un traitement médical pour des raisons importantes de santé il faut absolument continuer. Je ne suis pas un médecin et en aucun cas je voudrais remplacer les conseils précieux d’un spécialiste.

Je me réfère exclusivement à mes expériences personnelles vécues et expérimentées sur la base de mes connaissances de vie, de mes croyances et compétences.

Observez, écoutez ces douleurs, demandez-leur ce qu’elles ont à vous dire.

Vous pouvez aussi écouter vos propres émotions négatives, les repérer sans les juger, les accepter, les nettoyer et les laisser partir.

Après un certain temps de pratique, l’émotion qui s’est manifestée sous forme de douleur comme une vague va passer et vous retrouverez votre bien-être.

Pour vous mettre dans un bon état de santé tous les jours aidez-vous avec des affirmations positives, comme par exemple :

Mon corps fait de son mieux pour créer une santé parfaite, mon corps est fort, mon corps est léger et tout fonctionne à la perfection, mes organes, ma peau, mes cellules sont complétement régénérées, mes muscles sont toniques et mon sang est propre et en bonne santé, mes os sont forts et résistants.

Merci mon corps d’être une machine parfaite, de m’accueillir et de m’accompagner dans toutes mes aventures sur terre !

Naturellement utilisez les mots qui vous représentent le plus, croyez à ce que vous dites et à ce que vous visualisez. Si votre façon de parler n’est pas sincère ou crédible pour vous, l’effet désiré ne sera pas atteint.

L’importance du pardon

Pourquoi pardonner?

Une pratique très efficace pour sortir du mal-être est celle du pardon.

En effet beaucoup de personnes préfèrent vivre dans la négativité des pensées et des comportements. Mais celles-ci sont une conséquence de ce qui se passe dans notre tête.

Il est vrai que parfois nous sommes confrontés avec des choses que nous n’avons pas souhaitées, mais la façon dont nous décidons de réagir, fait une grande différence.

Comment parvenir à une paix intérieure complète et être capable d’éliminer les idées et pensées négatives envers les autres et les événements qui ont conditionné notre vie jusqu’à ce jour ?

Nombreuses sont les situations qui pourraient justifier une perception de la vie comme étant négative, faite de lourdes responsabilités et d’obligations agaçantes dont nous voudrions nous débarrasser.

Une relation difficile avec un parent, un enseignant pourrait, par exemple, devenir un fardeau intérieur que nous portons avec nous tout au long de notre vie. Ou alors, il pourrait s’agir de quelque chose sur nous-mêmes que nous voulons oublier.

Ce que des études scientifiques ont démontré, c’est que ces responsabilités affectent l’activité cérébrale et, par conséquent, notre capacité innée à nous reconnecter aux états de conscience dits supérieurs, qui nous permettent de vivre en harmonie avec nous-même et avec notre environnement.

Nous tous pouvons accéder à des états de conscience qui atteignent des hautes fréquences cérébrales consciemment ou inconsciemment.

L’idéal serait de pratiquer le plus possible la méditation, des exercices de visualisation pour faire en sorte d’y rentrer consciemment, afin de sortir de ces états négatifs qui nous pourrissent la vie et dans lesquels lorsque y rentrons et nous avons tendance à vouloir y rester.

J’ai expérimenté ça plusieurs fois. J’ai pu constater comment il est facile de se mettre tout seul dans un état qui fait tout voir en noir sans apercevoir la lumière de la sortie.

Le fait d’être hyper sensibles à tout ce qui se passe autour de nous, dans le sens que tout nous dérange, est déjà un signe que nous ne sommes pas centrés, alignés avec nous-mêmes.

Nos vibrations sont basses et nous rentrons dans tous les pièges des bagarres et des conflits. Ceux-ci nous paraissent insurmontables. En fait la perception est de se sentir attaqué personnellement dans notre être, dans nos capacités, dans notre professionnalisme.

C’est quelque chose qui touche en profondeur et qui remets en question le fait d’être aimé, bien vu et bien voulu à l’extérieur (la société) par les personnes qui nous entourent (la famille, les amis), qui nous jugent (voisins, connaissances, collègues, employeurs, associés…).

En un mot ça touche aux peurs profondes des êtres humains d’être rejetés !

Donc si quelqu’un nous juge, nous critique, nous fait mal et que nous avons constamment ces pensées dans la tête, comment allons-nous nous sentir ?

Comment imaginez-vous pouvoir vous en sortir ? Oui je sais, votre fierté (ego) aimerait obtenir les excuses de la personne qui vous a blessé, où ne plus devoir être confronté à cette personne et à cette douleur.

En réalité la seule personne qui continue à vous blesser c’est vous même, puisque la scène de l’évènement se répète constamment dans votre tête, les dialogues, les réactions imaginaires, …et la colère augmente et continue à vous mettre dans un état mauvais qui vous affaibli et qui risque de vous faire tomber malades ou fragiles au niveau émotionnel.

Tout ça pour nos propres pensées ! Notre décision de donner du pouvoir à cette personne, à son comportement !

Les scientifiques ont réalisé que la clé pour augmenter les ondes alpha est le pardon.

Le pardon peut vous faire atteindre le même état mental que certaines personnes qui ont passé des années à méditer pour y parvenir. Vous devez cependant savoir comment bien le faire.

Quand vous pardonnez vraiment, votre niveau de colère et de ressentiment diminue et votre niveau d’amour augmente. Vous serez imprégné d’un sentiment croissant de confiance et de liberté par rapport aux événements passés. Votre santé s’améliorera ainsi que votre souffrance psychique.

En pardonnant les gens qui vous ont blessé, vous devenez vous-même créateur de votre propre bonheur, vous en devenez responsable.

Il m’est arrivé récemment de vivre une situation de stress où la fatigue et la quantité de travail m’avaient tellement épuisées que mes perceptions sur le comportement de certaines personnes étaient altérées. Plus je pensais à la personne dont le comportement m’avait dérangé plus je me sentais en colère vis à vis d’elle, la douleur se renouvelait, ce qui me mettais encore plus dans un état émotionnel négatif.

J’ai compris après quelques jours de souffrance que je devais changer mon attitude, car je n’allais pas bien et mes vibrations étaient très basses.

Je me suis concentré sur la méditation avec le soutien des techniques que je maitrise. J’ai pratiqué le pardon de la personne en question. Ce n’était pas tout de suite évident, car j’ai dû répéter l’exercice plusieurs fois pour me débarrasser de la colère que j’avais cumulé et finalement je me suis sentie de mieux en mieux jusqu’à avoir complétement pardonné à la personne, à moi et à la situation.

Le résultat était formidable ! Je ne m’attendais pas à autant de bien-être.

Ce que je considérais un problème n’existait plus et les pensées négatives envahissantes se sont arrêtées à l’instant.

J’ai pu reprendre mes activités sans être dérangée par mes soucis et quand je me suis retrouvée avec les personnes impliquées dans cette situation, c’était comme s’il n’y avait jamais rien eu.

Apparemment, le fait de pardonner à des gens qui vous ont trahi améliore la tension artérielle et diminue la charge de stress du cœur. Le pardon permet aussi de perdre du poids, car beaucoup de poids est en fait lié à la sphère émotionnelle.

Du moment où vous êtes libéré de la charge que vous portez depuis des années sur vous, vous pourrez assister à des véritables miracles.

Essayez avec de vous-même, mais le plus important est ce cadeau que vous vous offrez, car après un pardon sincère vous pourrez vous retrouver avec toutes personnes qui vous ont blessé, mais elles n’auront plus aucun pouvoir sur vous ! Tout dépend de vous.

Quand parle-on de résilience ?

La résilience est la capacité de se remettre debout après avoir chuté, après avoir vécu des situations très difficiles qui nous ont fortement mis à l’épreuves, qui nous ont blessés, déstabilisés mais qui en même temps ne nous ont pas tués.

Devenir résiliant ça veut dire :

• Accepter les choses douloureuses de la vie

• Se donner une autre possibilité

• Sortir de la tempête

• Revenir au monde encore plus fort qu’avant, avec plus de maturité

• Avoir appris des leçons

L’erreur qu’on fait tous, trop souvent, est de vouloir absolument catégoriser les évènements. C’est l’idée de la dualité, de la séparation, le fait de classer l’évènement comme positif ou négatif, bon ou mauvais, juste ou injuste.

Savez-vous ce qui provoque en nous la vraie souffrance ? Ce n’est pas ce qui se passe qui nous fait souffrir, mais la décision que nous prenons en mettant l’étiquette ou le code qui classe l’événement vécu en tant que négatif, c’est le jugement que nous portons sur la situation.

Nous commençons à souffrir tout suite après.

Si nous prenons du recul et que nous regardons les évènements les plus importants que nous avons vécus, êtes -vous sûrs que ces situations, soi-disant négatives, ne soient pas celles qui vous ont apporté quelque chose en plus ?

Des nouvelles ressources, des forces, de la compréhension, de la sagesse, des capacités, une prise de conscience, une ouverture d’esprit, de la disponibilité ?

On ne sait jamais d’avance pourquoi on vit une situation donnée. Tout fait partie d’un dessin qu’on peut comprendre si l’on fait confiance à la vie, à l’Univers, aux énergies qui nous entourent, qui nous composent.

Plusieurs fois je me suis trouvé dans la situation où j’ai considéré un événement négatif sur le moment. Je me suis dit que ça me faisait énormément souffrir, comme quand j’ai dû quitter mon travail et me remettre en question. Au fond de moi je savais que ce travail ne me correspondait pas et qu’il n’y avait pas de possibilité d’évolution.

Mais ma partie rationnelle s’accrochait à des détails qui rentraient dans la catégorie des bonnes conditions : salaire, environnement, collègues, que le bureau soit proche de la maison, le fait d’avoir une place de parc. A vrai dire toutes ces conditions favorables ne me satisfaisaient pas au point de renoncer à mes valeurs fondamentales et au respect que j’ai toujours eu envers moi -même. J’ai regardé la réalité en face et tous les compromis que je devais accepter, afin d’être considérée comme une personne digne jusqu’à arriver au point de somatiser dans mon corps toutes ces sonnettes d’alarmes qui me disaient : « Allez démissionne » !!

J’ai pris le courage de dire stop, ce travail ne me correspond plus, je change.

Savez-vous ce qui s’est passé ensuite ? J’ai changé de domaine et j’ai finalement trouvé un travail qui était fait exactement pour moi, dans un contexte magnifique, avec un milieu de travail très agréable où je pouvais finalement m’exprimer, être appréciée et qui m’a permis de me mettre en valeur et de développer mes capacités.

Aujourd’hui, avec du recul, je suis tellement reconnaissante d’avoir vécu cette expérience, qu’à l’époque j’avais considéré négative, et qui au contraire s’est révélée un véritable cadeau !

Maintenant, je vous propose un exercice qui va vous permettre de voir les choses d’un autre point de vue, plus positif, qui vous mettra dans un autre état émotionnel et vous aidera à ouvrir votre esprit.

• Identifiez une situation que vous trouvez négative ou terrible.

• Demandez-vous si cela pourrait devenir le MEILLEUR ÉVÉNEMENT qui ne vous soit jamais arrivé.

• Alors demandez-vous : que puis-je faire pour en tirer la meilleure leçon pour ma vie ? Restez ouvert aux possibilités offertes par la vie et imaginez que derrière chaque évènement que nous vivons il y ait une explication plus haute, qui va nous permettre de devenir des personnes meilleures.

Le potentiel qui est en vous

Vous êtes-vous déjà retrouvées dans une situation où vous aviez l’impression de vivre une vie qui ne vous appartenait pas vraiment, au point où vous vous êtes dit à vous-même, mais qui est la personne que je suis devenue ? Vous avez de la peine à vous reconnaître dans la glace.

Comment est-il possible que je ne puisse plus faire toutes ces choses qui étaient autrefois si simples pour moi et que je maîtrisais parfaitement. J’étais sûre de moi et j’aimais faire ce que faisais et maintenant je me sens frustrée, insatisfaite, je suis aussi en colère contre moi-même !

Pour une raison quelconque, avez-vous pris une direction qui vous a amené à faire des renoncements tant sur le plan privé que professionnel ?

  • Avez-vous par exemple quitté un emploi qui vous passionnait pour suivre la personne que vous aimiez ?
  • Avez-vous déménagé dans autre pays et ainsi changé complètement votre vie ?
  • Votre carrière a-t-elle été interrompue par une grossesse ?
  • Avez-vous renoncé à vos projets professionnels pour vous consacrer à quelqu’un qui avait besoin de vos soins ?

Pour ces raisons ou bien d’autres, votre vie a pris une direction à laquelle vous ne vous attendiez pas, qui ne vous correspond plus ; vous vous dites constamment qu’elle ne s’est pas déroulée exactement comme vous l’aviez rêvée mille fois quand tous les choix étaient possibles.

Vous aviez tout le potentiel, les capacités, l’envie de vous impliquer dans tant de domaines différents, il vous suffisait de prendre une direction plus claire, plus adaptée à vos valeurs et à ce que vous vouliez vraiment !

Aujourd’hui, vous avez grandi, vous êtes devenue une jeune femme, une femme mûre. Peut-être êtes-vous une mère de famille avec de nombreuses responsabilités ou une femme qui a choisi de se consacrer entièrement à son travail au point de renoncer complètement à soi-même et à sa sphère privée, pour créer une famille ou une relation de couple qui vous rende heureuse.

Vous avez le sentiment d’avoir fait des choix qui vous ont en partie satisfait. Mais vous pensez qu’ils vous ont conduit à abandonner ou à mettre de côté d’autres aspects de vous que vous ne voulez plus abandonner.

En ce moment vous êtes dans une phase de bilans et vous vous rendez compte que beaucoup de temps s’est écoulé. Pendant longtemps vous avez été tellement absorbée par les mille engagements de votre vie quotidienne que vous avez complètement oublié cette partie de vous qui aimait faire tant de choses, qui travaillait dans un but, qui créait des projets, qui aimait les contacts avec les gens, qui voyageait, qui ne craignait pas le monde et qui était très curieux de la diversité.

Vous savez que vous pouvez encore entrer dans le jeu ! Vous pouvez vous retourner !

Vous vous sentez coincée parce que tout le monde a eu besoin de vous, vous vous êtes un peu oubliée. Maintenant vous ne savez plus comment vous retrouver et comment faire remonter à la surface ces qualités qui vous appartenaient, c’est comme si vous aviez oublié toutes ces qualités qui vous ont distinguées.

Vous n’avez pas à vous inquiéter, car vous pouvez à tout moment changer la direction que vous donnez à votre vie. Vous n’avez pas à vivre la même chose durant toute votre vie !

Vous avez le pouvoir de changer votre réalité, personne d’autre ne peut le faire à votre place.

Il y a eu un moment où j’ai ressenti ces sentiments, je ne me reconnaissais plus pleinement et j’avais oublié qui j’étais ; C’était comme si j’avais pris un train qui fonctionnait en mode automatique. Je ne savais pas comment sortir de cette situation dans laquelle je m’étais mise ; j’avais perdu confiance en moi.

Pendant plusieurs années, j’ai pris soin de ma famille, et c’est une noble cause que je ne regrette pas. Pour une raison ou une autre, j’étais convaincue que je ne pouvais pas me consacrer à mes projets personnels et professionnels en même temps, à mon désir de faire et de contribuer en partie à créer un monde meilleur !

Si j’avais continué dans cette direction, je me serais complètement perdue et j’aurais vécu la vie de quelqu’un d’autre, au risque d’être malheureuse et frustrée. Je me serais laissée aller et j’aurais donné de l’espace au pire de moi-même. J’aurais blâmé et cherché un responsable de mon malheur à l’extérieur de moi-même et je l’aurais considéré comme responsable de mon triste destin.

Au lieu de cela, j’ai pris courage et accepté ma situation d’abord en me « pardonnant » pour les choix que j’ai faits parce que, grâce à mon vécu, j’ai pu vivre les expériences qui m’ont permis de grandir et de devenir la personne que je suis devenue aujourd’hui.

J’ai pu revenir dans le jeu pour trouver le lien avec toutes les parties de moi qui s’étaient endormies. J’ai exprimé pleinement mon caractère et mes intentions en prenant la responsabilité de mes actions. Pour ce faire, cependant, il faut partir de l’intérieur avant de voir les résultats également à l’extérieur, dans ce que nous vivons et dans les personnes avec qui nous interagissons. Ce ne sont pas les autres qui ont besoin de changer ou le monde autour de nous. Changeons-nous, nous changeons la façon dont nous voyons les choses, changeons notre point de vue, changeons notre perspective.

La question que je me suis posée et que je vous pose aujourd’hui, à vous qui vous reconnaissez probablement dans cette situation parce que vous vous sentez dans une impasse :

Qui voulez-vous être vraiment ? A quoi êtes-vous en train de renoncer par peur ou pour plaire à quelqu’un d’autre ?

Le potentiel dont je parle est déjà en vous. Tout est là pour être utilisé !

Imaginez une table déjà décorée, pleine de toutes les gourmandises du monde, tout est là pour vous, vous êtes l’invité d’honneur, vous avez juste à prendre ce qui vous fait envie, c’est vous qui décidez de manger ou pas !

Alors allez-y, n’ayez pas peur que quelqu’un vous fasse des reproches ou que quelqu’un vous rejette pour ce que vous êtes.

Vous pouvez être vous-même et vous comporter selon votre nature, vos idées, vous êtes nées avec un but et vous pouvez décider aujourd’hui d’agir selon votre cœur en vous faisant honneur.

Que voulez-vous entreprendre pour vivre pleinement votre vie ?

Afin de vivre en première ligne, de vous exposer à la critique, de mettre votre visage en première page, le vôtre bien sûr et non le masque de quelqu’un d’autre.

 

 

 

Des Emotions: sous quelle forme?  

Qu’est-ce qui se passe avec vos émotions en ce moment ?

Comment réagissez- vous face à elles ?

Comment gérez-vous vos émotions lorsque vous êtes dans une situation particulière ou devant d’autres personnes ?

Pour comprendre les émotions, il est nécessaire de sortir de la dichotomie entre émotions positives et négatives ; cette division créée par le mental ne permet pas la compréhension de ce que sont les émotions aux niveaux énergétique.

Toutes les émotions sont physiques et elles nous piègent.

Elles sont dans notre corps. On peut voir leurs effets se manifester avec plus ou moins de vigueur. Elles peuvent durer quelques heures ou quelques jours.

Certaines d’entre elles sont actuelles, liées à ce qui se passe aujourd’hui, d’autres sont un héritage du passé. L’ancien et le nouveau interagissent en même temps dans l’espace. Parfois ce qui se passe dans le moment présent ramène à la surface quelque chose qui fait partie du passé et qui n’a pas été résolu.

Le corps est vivant, il perçoit les émotions, elles sont données par la vie.

Nos états internes conduisent consciemment et inconsciemment. Cela dépend donc de nous, si nous voulons vivre dans le bonheur ou au contraire dans le malheur parce que dans les deux cas nous sommes le créateur de notre existence.

La connaissance énergétique des émotions permet de comprendre la forme qu’elles prennent. Celles que nous avons activées ou congelées.

Le corps nous donne la clé de la compréhension. La sensation physique que nous ressentons est une porte qui permet de libérer les émotions.

  • Plus nous sommes attentifs à ce qui se passe dans notre corps, que nous l’habitons constamment, que nous sentons notre corps dans son ensemble de la pointe des pieds au sommet de la tête, plus cela nous permet de vivre et de percevoir les émotions dès leur première apparition.

Nous pouvons constater quelque chose qui est dense, qui nous tire vers le bas ou vers le haut.

Lorsque l’émotion se présente, ne manipulez pas l’expérience, ne jugez pas, n’essayez pas de comprendre, n’essayez pas d’entrer dans un lien de cause- effet. La connaissance de la cause n’est pas utile, car elle fait partie du passé.

Nous pouvons observer, respirer et nous concentrer sur le souffle, prêter attention et laisser ce mouvement, cette forme, cette obscurité être comme elle est.

Il ne faut pas essayer de comprendre l’émotion du point de vue mental ; le mental essaiera toujours de contrôler, de diriger, d’obtenir un résultat.

  • Laissez-vous aller, faite l’expérience de ne pas chercher à savoir. Je sais que ce n’est pas facile, mais nous pouvons aussi juste observer et laisser aller.
  • Faites confiance à votre expérience. Laissez-vous guider par votre intuition (non pas par le mental). L’attention se détache de l’esprit et se pose sur la vibration du souffle.
  • Restez avec l’attention libre sur la « non- forme » permettant au malaise « d’être » simplement, acceptez que cette chose existe.

Quelle que soit l’émotion que vous ressentez, accueillez la forme physique de l’émotion, laissez-la s’exprimer.

L’observateur n’a pas d’attente, il est sans avenir, il n’essaie pas d’arriver là où il n’est pas encore. Restez-là où vous êtes, avec ce que vous avez.

Soyez confiant que vous allez retrouver votre équilibre, votre centre.

Les émotions arrivent et c’est normal ! Prenez soin d’elles, ressentez-les mais ne vous perdez pas dans les sentiments, vous êtes l’observateur, le sujet sans lequel la perception n’existerait pas.

Renoncez au film, renoncez à l’histoire, elle vient et repart.

Prenez la sensation physique telle quelle, sans attente, sans résultat.

(Vous n’avez pas besoin de tout ce conditionnement du mental).

Les émotions soi-disant positives font partie du même système, de l’état de conscience altéré et qui manque de connexion.

Nous ne pouvons pas continuer à faire les mêmes choses dans l’espoir d’obtenir des résultats différents.

La présence n’est donc pas liée à la souffrance, elle doit être choisie à chaque instant. Les émotions font partie d’un autre état de conscience.

 

 

 

 

 

La puissance de l’imagination

Tout le monde imagine ; rêve, désire…

Une série d’images se succèdent par association.

Qu’est réellement notre imagination ?

Une puissance magique qui réalise nos désirs, nos pensées, nos sentiments.

Elle est capable de prévoir les choses, créer les choses que l’on désire, que l’on ressent.

L’imagination travaille sans arrêt ; c’est un outil très puissant qu’on peut utiliser dans tous les domaines de notre vie : intellectuel, sentimental, sportif ou professionnel. Nous pouvons réaliser tout ce que nous voulons.

Nous sommes des créateurs. L’imagination forme toutes nos créations.

Pour cette raison, il est très important d’observer ces pensées, de devenir conscient de notre imagination, sans quoi elle devient obéissante ; elle ne fait aucune distinction entre vrai ou faux. Les images qui se présentent à nous sont acceptés telles quelles.

Quelles sont les images qui passent dans votre mental ?

D’où elles viennent ces images ?

Nous devons les surveiller et ne pas nous abandonner à n’importe quelle image : celle qui nous démoli, qui nous rabaisse ou qui nous fait tomber malade.

Au contraire, nous pouvons tout guérir à travers une imagination consciente et saine, faite de belles images de réussite, d’harmonie, de force, de guérison émotionnelle.

De quoi l’imagination est- elle capable?

C’est une faculté magique par excellence !!

Certaines personnes dans le passé ont imaginé des choses qui n’existaient pas encore, elles l’ont créée et réalisée plus tard. Pensons simplement aux inventions qui ont changé et amélioré la vie en termes de qualité et d’évolution tant au niveau scientifique, médical, physique, artistique, qu’industriel.

L’imagination a des capacités qui permettent de traduire en réalité concrète ce qui n’existe pas. Elle sait comment faire pour réaliser tout ce que nous désirons, car elle ressent d’avance ce qui va arriver.

Ceux qui savent comment diriger leur attention sur des choses sublimes, belles, coloriées, harmonieuse peuvent atteindre des résultats incroyables dans leur existence.

La pensée, l’esprit, les sentiments qui sont invisibles se concrétisent dans la réalité.

Toute la souffrance qui se manifeste dans le monde et les souffrances physiques sont la manifestation concrète des pensées, des désirs et des sentiments éprouvés.

Il faut prendre conscience de ce lien de cause à effet. Cessons de vivre dans l’ignorance de ce mécanisme, du mode de fonctionnement de nos pensées, de notre cerveau, de notre mental, de notre corps physique. Nous contribuons nous-mêmes en tant qu’êtres humains, doués du libre arbitre, à réaliser « Ces résultats » sur la base de ce que nous voulons expérimenter consciemment ou pas.

Certes, si nous continuons à chercher toujours à l’extérieur de nous la responsabilité de ce qui ne va pas dans notre vie, remettant toujours la faute aux autres, nous risquerons de vivre une existence faite de souffrance.

La souffrance générée par les guerres, égoïstes et cruelles est créée par les pensées d’un groupe de personnes. Celles-ci décident pour nous, car nous sommes soumis et somnambules. Nous sommes incapables de prendre le pouvoir sur notre vie et devenir responsables de ce que nous voulons vraiment vivre.

Souvent, les gens autour de nous se plaignent de beaucoup de choses mais ils ne savent pas ce qu’ils veulent à la place !

A mon avis, les clés de la compréhension de notre fonctionnement se trouvent dans une pensée unie aux sensations et aux sentiments.

Soyez toujours attentifs à vos pensées et à vos paroles ; elles vont produire des résultats, bons ou mauvais selon leur qualité ; elles sont vivantes. Et comme tout s’enregistre en nous, si nous surveillons nos pensées, nos sentiments et nos mots, nous pouvons améliorer notre vie. Et cela de manière instantanée.

Essayez-maintenant !

 

 

 

 

 

 

Comment augmenter ton courage

Le courage, vertu du cœur, est une force qui rend capable, en dominant la crainte, de supporter ou de surmonter les dangers, la douleur physique et de regarder même la mort en face.

Ton pouvoir se trouve là où tu n’as plus de crainte. Parfois le courage est confondu avec l’héroïsme, avec le fait de mettre sa vie en danger. Je me réfère au courage d’être soi -même, celui qui consiste à exprimer ce que l’on pense et ce que l’on ressent.

Qu’est-ce que c’est le courage pour toi ?

Si tu observes ton vécu, tes expériences, il y a certainement eu des moments dans ta vie où tu as été extrêmement courageux, tu t’es même surpris de ta force intérieure. Tu ne croyais pas pouvoir faire autant et pourtant tu l’as fait ! Tu sais pourquoi ? Tu étais connecté à ton cœur.

Peut -être que maintenant tu as oublié de quoi tu es capable !

Tout ce qu’il te faut, c’est de connecter à ton cœur et de mettre au grand jour cette force qui est en toi. Ainsi tout ce qui t’effrayait devient une incroyable opportunité pour t’entrainer à être courageux.

Le courage d’imaginer qu’on a toujours des alternatives dans la vie est notre plus grande ressource.

Toutes les opportunités manquées, celles que tu as eu peur d’affronter, peuvent se transformer en regret de ne pas avoir vécu la vie que tu aurais voulu.

Le conseil que je te donne aujourd’hui, c’est d’éviter de procrastiner. Prends le risque de communiquer clairement tes besoins, tes envies et même ta vulnérabilité.

Le fait de renvoyer tes projets à demain ou à un autre jour et de procrastiner cache souvent, en réalité, la peur du jugement, d’être ridiculisé. La procrastination fait partie de ta zone de confort, tu t’y sens en sécurité mais à vrai dire cette zone transforme ta vie en une sorte de prison. La meilleure protection, c’est le courage ! Il te permet de vivre plus intensément. Plus tu es dans l’action, plus tu fais d’expériences, plus tu gagnes en courage.

Tout ce qu’il faut faire, c’est un petit pas à la fois.

Pour faire la différence, tu dois penser, agir et vivre comme le 5% des gens qui accumulent les succès.

Pour t’encourager, je te conseille de lire les biographies des hommes qui ont eu du succès dans la vie. Ces hommes et ces femmes qui ont su donner du respect, de la voix, des droits à de nombreux êtres humains ; des personnes comme Nelson Mandela, Martin Luther King, Gandhi ou Mère Theresa. Lis des livres de développement personnel, de philosophie positive, lis une phrase motivante tous les matins au réveil, fixe-là dans ton subconscient et tous les soirs avant de te coucher.

Avant d’aller au lit, prend des notes dans ton journal, écris tout ce que tu aimerais devenir, agis comme si tu l’étais déjà.

Inspire-toi en faisant un collage de belles images (dans les magazines) de la vie, de tes rêves, afin d’influencer ton inconscient. Je te rappelle que celui-ci ne fait pas de différence entre vrai ou faux.

Ecris chaque jour (pendant 30 jours) une chose que tu as toujours reportée et met -là en pratique.

Tu dois exercer un muscle celui de la force de volonté.

Entraine-toi en pratiquant du sport, en faisant des mouvements deux fois par jour, matin et soir, en faisant une promenade de 20 minutes.

Fais de l’ordre au tour de toi, travailles dans un endroit propre et en ordre (si autour de toi il y a du désordre, alors tu auras du désordre aussi dans ton mental), crée un endroit agréable, sans distractions et maintiens la concentration sur ce que tu veux atteindre.

Arrête de te saboter en écoutant les croyances que t’ont apprises en toute bonne fois tes parents, tes enseignants, la société, tous ceux qui te disent que tu ne réussiras jamais à atteindre un niveau plus élevé.

Ma vie a changé dès que j’ai arrêté de croire à cette petite voix, pleine de peurs, qui me sabotait.

  • Fais confiances en tes intuitions.
  • Soi-toi-même à tout prix, même si tu vas être jugé.
  • Dis toujours ta vérité.
  • Ose prendre des risques pour réaliser tes rêves, même au prix d’un échec, sachant que l’échec n’existe pas. Tu pourras essayer encore, tout simplement avec une autre façon de faire.
  • Mets en avant tes valeurs.
  • Laisse partir le passé.
  • Combats pour tes idéaux.
  • Arrête de te plaindre et passe à l’action !

Pour dépasser la peur et pour entrainer le courage, fais un petit exercice, mets-toi à l’épreuve en faisant des petites actions journalières, simples, comme par exemple demander des renseignements aux inconnus dans la rue, changer le chemin habituel quand tu vas au travail, fais exprès des petites fautes, dis quelque chose de bizarre pendant une réunion entre collègues, ça doit être quelque chose que normalement tu ne ferais pas par crainte d’être jugé.

Allez vas- y, amuse-toi bien, c’est juste un jeu.

Transforme tes peurs en action.

Bon courage !

 

 

 

 

 

 

 

Et si nous Re-écrivions notre histoire !!

Nous avons vécu dans notre vie des expériences qui nous ont marqués en tant qu’êtres humains.

Notre vie est faite d’une série d’expériences magnifiques qui nous ont appris énormément de choses et même donné les clés de quelques portes pour entreprendre les aventures suivantes.

Rarement nous tentons de nous rappeler toutes les aventures splendides qui nous ont permis de devenir les personnes que nous sommes devenues. Au contraire, nous avons plutôt tendance à rester coincés dans l’expérience négative, à nous rappeler surtout des expériences difficiles, que nous n’avons pas voulues, pas aimées et qui dans les pires des cas, nous ont même traumatisés.

Certaines expériences nous ont tellement bouleversés, que la répétition d’une expérience douloureuse nous effraie. Nous avons tiré des conclusions hâtives. En prenant certaines décisions, nous avons créé des croyances, des convictions dans une situation donnée qui nous ont amenés à nous comporter d’une certaine façon. Depuis, nous ne les avons plus remises en question et nous nous comportons de cette manière pour nous protéger, pour nous éviter la souffrance et par conséquence, nous obtenons des résultats qui parfois nous empêchent d’avancer et de vivre pleinement la vie et d’atteindre les résultats que nous désirons.

Nos systèmes internes et mentaux ne sont pas toujours faciles à comprendre.

Mais lorsque nous sommes confrontés avec la réalité, parfois difficile, dans laquelle nous sommes bloqués, nous ne savons pas consciemment qu’est-ce qui bloque et pourquoi nous reproduisons toujours les mêmes situations ?

Par exemple : « pourquoi est-ce que j’attire souvent les mauvais partenaires qui me font souffrir » ?

des emplois précaires  que je suis obligé de changer tout le temps ? 

des relations interpersonnelles difficiles « je ne tolère plus mes collègues ! »

une pénurie d’argent « mes fins de mois sont difficiles »

la solitude « mieux vaut être seul que mal accompagnés »

insécurité « je n’arriverai jamais à dormir seule à la maison »

manque de confiance  « j’ai peur de m’exprimer en public »

La chose que j’ai apprise et que j’ai pu expérimenter, au quotidien, qui a changé complétement mon point de vue sur la vie, est que nous avons la possibilité de choisir et transformer n’importe quelle situation vécue, à tout moment.

J’adore ce mot « pouvoir », le pouvoir est en nous et chez personne d’autre, à moins de les autoriser nous -même.

Nous pouvons continuer à nous plaindre pour tout ce qui ne va pas ou pour une décision que nous avons prise il y a très longtemps. Nous pouvons jouer le rôle de la victime attirant encore et encore les mêmes situations qui nous bloquent dans une problématique, dans une souffrance ou nous pouvons enfin nous prendre en main en choisissant de changer d’attitude.

Nous devenons acteurs et transformons notre vécu en faisant quelque chose de constructif avec notre bagage(package complet positif et négatif). Ceci va nous amener à un autre niveau de compréhension, à intégrer tous les apprentissages qu’on peut retrouver dans chaque expérience et continuer à vivre pleinement notre vie dans la meilleure version de soi.

Nous pouvons donc changer notre histoire de vie, créer la réalité qui nous plaît et nous inspire et nous fait rêver d’être comme les personnes qu’on admire autour de nous, comme nos modèles, nos benjamins, nos super héros. Tout est possible !! Il suffit de décider encore une fois de quel côté on veut être et de quel point de vue on veut voir les choses.

(…)

 

L’amour est…

L’amour est être

Donner et recevoir.

S’exprimer et écouter.

Acceptation des différences.

Accepter le monde des femmes, le monde des hommes, toutes les catégories ; se reconnaître en tant qu’êtres humains.

N’importe quelle ethnie, quelle culture, quelle religion.

Nous sommes tous habitants de la même planète. Si on s’éloigne assez vers le haut pour la voir à distance, on ne nous voit même pas, on voit juste une bulle bleue suspendue dans l’espace, quelle magie magnifique !!  Chaque chose est le microcosme de quelque chose de plus grand !

Clairement, c’est ma vision unique et très subjective de l’amour.

L’amour et un sentiment fort, très profond qui nous fait sentir bien, enveloppés, protégés, considérés, appréciés.

Nous avons tous besoin d’amour et d’affection, même dans la société actuelle où tout se passe très vite, dans l’illusion du désir et de la consommation rapide. Même les personnes d’apparence très dure (sévère), qui semblent n’avoir besoin de rien, qui sont agressives et détestables ont besoin d’amour.

Pour moi aimer veut dire être connecté à la personne que je suis, aller en profondeur, apprendre à me connaître, me mettre à l’épreuve pour évaluer et évoluer jusqu’à trouver la meilleure version de moi.

Si je m’aime et je me respecte, je peux aimer et respecter les autres autour de moi.

Je m’accepte pleinement, « package complet qualité-défaut ». Par cela je ne veux pas dire que je ne peux pas me tromper, faire des erreurs sur le chemin de mon apprentissage. Cependant s’aimer signifie aussi être capable de se pardonner et accepter que ce que nous vivons est le résultat de nos décisions antérieures, nous pouvons donc à tout moment « corriger l’itinéraire de notre bateau, si nous voulons aller ailleurs ».

Pour moi aimer, c’est de regarder les gens qui m’entourent dans les yeux, les reconnaître. Un regard gentil ou un sourire peut changer la journée de quelqu’un. Nous ne savons jamais qu’est-ce qui se passe dans la vie des gens que nous croisons dans la rue, nous ne connaissons pas leur réalité, leurs souffrances, leurs difficultés, leurs inquiétudes. Un petit geste peut faire une grande différence dans la vie d’un cœur solitaire. Faisons attention à ce qui nous entoure. Restons éveillés, nous pouvons observer de telles merveilles !

Aimer c’est aussi apprécier et être reconnaissants de tout ce qu’on a dans notre vie.  Nous sommes trop souvent certains que tout nous est dû, puis, nous réveillons seulement lorsque nous risquons de perdre quelque chose (l’amour de quelqu’un, la santé, un être cher, ou autre) ou quand il est trop tard. Parfois, cela peut faire partie des apprentissages de la vie, mais parfois nous pourrions aussi apprendre de manière moins traumatique à reconnaître l’amour pour nous -même et pour tous ceux qui nous sont chers avant de les perdre.

Ne perdons donc pas l’occasion de corriger nos gestes qui nous éloignent de ce que nous voulons et de ceux que nous aimons.

L’amour, c’est la couleur verte, la nature est fondamentale dans ma vie. J’adore les arbres et j’ai besoin de les voir et de voir qu’autour de moi il y a en a bien assez.

J’aime sentir le bruit du mouvement des branches et le bruissement des feuilles, puis j’observe toutes les créatures magnifiques qui grâce aux arbres trouvent refuge, nourriture, jeux, amour. N’avez- vous jamais observé avec attention les petits oiseaux qui se tiennent en équilibre sur des branches très fines pendant la pluie ? C’est un véritable spectacle.

L’amour c’est la couleur bleue de la mer, son odeur, ses vagues, l’immensité et la profondeur qu’on retrouve dans notre inconscient. C’est l’énergie énorme qui est relâchée par l’eau en mouvement.

Les définitions sont interminables et chaque jour je découvre autres choses à associer à l’amour et surtout chaque jour est l’occasion d’ouvrir le cœur, de faire de la place pour accueillir tout ce qui nous permet d’avancer et d’améliorer notre qualité de vie.