Et si nous Re-écrivions notre histoire !!

Nous avons vécu dans notre vie des expériences qui nous ont marqués en tant qu’êtres humains.

Notre vie est faite d’une série d’expériences magnifiques qui nous ont appris énormément de choses et même donné les clés de quelques portes pour entreprendre les aventures suivantes.

Rarement nous tentons de nous rappeler toutes les aventures splendides qui nous ont permis de devenir les personnes que nous sommes devenues. Au contraire, nous avons plutôt tendance à rester coincés dans l’expérience négative, à nous rappeler surtout des expériences difficiles, que nous n’avons pas voulues, pas aimées et qui dans les pires des cas, nous ont même traumatisés.

Certaines expériences nous ont tellement bouleversés, que la répétition d’une expérience douloureuse nous effraie. Nous avons tiré des conclusions hâtives. En prenant certaines décisions, nous avons créé des croyances, des convictions dans une situation donnée qui nous ont amenés à nous comporter d’une certaine façon. Depuis, nous ne les avons plus remises en question et nous nous comportons de cette manière pour nous protéger, pour nous éviter la souffrance et par conséquence, nous obtenons des résultats qui parfois nous empêchent d’avancer et de vivre pleinement la vie et d’atteindre les résultats que nous désirons.

Nos systèmes internes et mentaux ne sont pas toujours faciles à comprendre.

Mais lorsque nous sommes confrontés avec la réalité, parfois difficile, dans laquelle nous sommes bloqués, nous ne savons pas consciemment qu’est-ce qui bloque et pourquoi nous reproduisons toujours les mêmes situations ?

Par exemple : « pourquoi est-ce que j’attire souvent les mauvais partenaires qui me font souffrir » ?

des emplois précaires  que je suis obligé de changer tout le temps ? 

des relations interpersonnelles difficiles « je ne tolère plus mes collègues ! »

une pénurie d’argent « mes fins de mois sont difficiles »

la solitude « mieux vaut être seul que mal accompagnés »

insécurité « je n’arriverai jamais à dormir seule à la maison »

manque de confiance  « j’ai peur de m’exprimer en public »

La chose que j’ai apprise et que j’ai pu expérimenter, au quotidien, qui a changé complétement mon point de vue sur la vie, est que nous avons la possibilité de choisir et transformer n’importe quelle situation vécue, à tout moment.

J’adore ce mot « pouvoir », le pouvoir est en nous et chez personne d’autre, à moins de les autoriser nous -même.

Nous pouvons continuer à nous plaindre pour tout ce qui ne va pas ou pour une décision que nous avons prise il y a très longtemps. Nous pouvons jouer le rôle de la victime attirant encore et encore les mêmes situations qui nous bloquent dans une problématique, dans une souffrance ou nous pouvons enfin nous prendre en main en choisissant de changer d’attitude.

Nous devenons acteurs et transformons notre vécu en faisant quelque chose de constructif avec notre bagage(package complet positif et négatif). Ceci va nous amener à un autre niveau de compréhension, à intégrer tous les apprentissages qu’on peut retrouver dans chaque expérience et continuer à vivre pleinement notre vie dans la meilleure version de soi.

Nous pouvons donc changer notre histoire de vie, créer la réalité qui nous plaît et nous inspire et nous fait rêver d’être comme les personnes qu’on admire autour de nous, comme nos modèles, nos benjamins, nos super héros. Tout est possible !! Il suffit de décider encore une fois de quel côté on veut être et de quel point de vue on veut voir les choses.

(…)

 

L’amour est…

L’amour est être

Donner et recevoir.

S’exprimer et écouter.

Acceptation des différences.

Accepter le monde des femmes, le monde des hommes, toutes les catégories ; se reconnaître en tant qu’êtres humains.

N’importe quelle ethnie, quelle culture, quelle religion.

Nous sommes tous habitants de la même planète. Si on s’éloigne assez vers le haut pour la voir à distance, on ne nous voit même pas, on voit juste une bulle bleue suspendue dans l’espace, quelle magie magnifique !!  Chaque chose est le microcosme de quelque chose de plus grand !

Clairement, c’est ma vision unique et très subjective de l’amour.

L’amour et un sentiment fort, très profond qui nous fait sentir bien, enveloppés, protégés, considérés, appréciés.

Nous avons tous besoin d’amour et d’affection, même dans la société actuelle où tout se passe très vite, dans l’illusion du désir et de la consommation rapide. Même les personnes d’apparence très dure (sévère), qui semblent n’avoir besoin de rien, qui sont agressives et détestables ont besoin d’amour.

Pour moi aimer veut dire être connecté à la personne que je suis, aller en profondeur, apprendre à me connaître, me mettre à l’épreuve pour évaluer et évoluer jusqu’à trouver la meilleure version de moi.

Si je m’aime et je me respecte, je peux aimer et respecter les autres autour de moi.

Je m’accepte pleinement, « package complet qualité-défaut ». Par cela je ne veux pas dire que je ne peux pas me tromper, faire des erreurs sur le chemin de mon apprentissage. Cependant s’aimer signifie aussi être capable de se pardonner et accepter que ce que nous vivons est le résultat de nos décisions antérieures, nous pouvons donc à tout moment « corriger l’itinéraire de notre bateau, si nous voulons aller ailleurs ».

Pour moi aimer, c’est de regarder les gens qui m’entourent dans les yeux, les reconnaître. Un regard gentil ou un sourire peut changer la journée de quelqu’un. Nous ne savons jamais qu’est-ce qui se passe dans la vie des gens que nous croisons dans la rue, nous ne connaissons pas leur réalité, leurs souffrances, leurs difficultés, leurs inquiétudes. Un petit geste peut faire une grande différence dans la vie d’un cœur solitaire. Faisons attention à ce qui nous entoure. Restons éveillés, nous pouvons observer de telles merveilles !

Aimer c’est aussi apprécier et être reconnaissants de tout ce qu’on a dans notre vie.  Nous sommes trop souvent certains que tout nous est dû, puis, nous réveillons seulement lorsque nous risquons de perdre quelque chose (l’amour de quelqu’un, la santé, un être cher, ou autre) ou quand il est trop tard. Parfois, cela peut faire partie des apprentissages de la vie, mais parfois nous pourrions aussi apprendre de manière moins traumatique à reconnaître l’amour pour nous -même et pour tous ceux qui nous sont chers avant de les perdre.

Ne perdons donc pas l’occasion de corriger nos gestes qui nous éloignent de ce que nous voulons et de ceux que nous aimons.

L’amour, c’est la couleur verte, la nature est fondamentale dans ma vie. J’adore les arbres et j’ai besoin de les voir et de voir qu’autour de moi il y a en a bien assez.

J’aime sentir le bruit du mouvement des branches et le bruissement des feuilles, puis j’observe toutes les créatures magnifiques qui grâce aux arbres trouvent refuge, nourriture, jeux, amour. N’avez- vous jamais observé avec attention les petits oiseaux qui se tiennent en équilibre sur des branches très fines pendant la pluie ? C’est un véritable spectacle.

L’amour c’est la couleur bleue de la mer, son odeur, ses vagues, l’immensité et la profondeur qu’on retrouve dans notre inconscient. C’est l’énergie énorme qui est relâchée par l’eau en mouvement.

Les définitions sont interminables et chaque jour je découvre autres choses à associer à l’amour et surtout chaque jour est l’occasion d’ouvrir le cœur, de faire de la place pour accueillir tout ce qui nous permet d’avancer et d’améliorer notre qualité de vie.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La colère, parfois mauvaise conseillère

Comment vous sentez–vous quand une personne vous insulte, vous agresse verbalement ou vous regarde avec des yeux chargés de désapprobation, de mépris ?

Vous sentez-vous menacés, jugés et non aimés, non appréciés ?

Est-ce que cela déclenche en vous une réaction de colère qui vous met dans tous vos états ?

Vous ressentez comme un feu qui brûle en vous. Celui-ci vous fait immédiatement réagir à cette mauvaise sensation de manière explosive, en criant fort ou en cherchant les mots les plus désagréables afin de blesser la personne, qui d’après vous, a causé votre souffrance.

La colère est une émotion qui a sa raison d’être comme toutes les autres émotions. Elle nous protège parfois, en tant qu’instinct de survie, pour nous défendre physiquement contre les violences.

La colère, dont l’origine est une émotion sentimentale, générée par le cerveau, provoque des réactions impulsives, disproportionnées. Elle déclenche au niveau chimique des substances qui vont immédiatement empoisonner notre corps.

En y réfléchissant bien, après que nous nous sommes mis dans un état de colère dans un premier temps, nous pouvons avoir l’illusion de nous sentir mieux, d’être satisfait. Mais c’est le début d’un cercle vicieux qui va nous rendre dépendant de cette adrénaline temporaire engendrée par l’attaque de colère. Elle se transforme par la suite en sentiment de culpabilité, de frustration d’avoir blessé quelqu’un et de ne pas avoir réussi à réagir différemment.

Ce qui est génial, c’est que nous pouvons nous débarrasser de ces émotions envahissantes et désagréables qui nous gâchent la vie !

Pour cela, il importe de reconnaître d’avance les signes de cette colère qui augmente, de cette flamme qui s’alimente de rancœur et qui devient de plus en plus grande jusqu’à créer un incendie.

Vous pourriez-vous demander : « cela voudrait-t-il dire qu’il vaut mieux de se taire et de garder la colère en soi ? » Ne serait-il pire de tout réprimer ?

Dans la communication non-violente, on dit qu’on a le droit de faire jaillir notre colère. Il est important de dire ce que nous pensons et ce que nous ressentons, mais sans nécessairement en utilisant des mots agressifs, qui sont nocifs pour toutes les parties impliquées.

Par exemple au lieu de dire « tu » as fait ceci, ou « tu » as fait cela, la personne qui a besoin d’exprimer son avis par rapport à une injustice subie peut utiliser le « Je » en écoutant ce que tu m’as dit tout à l’heure « Je » me suis sentie agressé, maltraité, jugé, insulté, rabaissé…

Si on pose la question : Est-ce que tu permets que je te dise quelque chose de désagréable ? L’autre personne a le choix d’accepter ou pas. Si elle est d’accord de vous entendre, cela veut dire que son cerveau est déjà prêt à recevoir l’information.

Ce qui est passionnant, c’est que nous avons toujours la possibilité de choisir l’état dans lequel nous nous mettons. Nous sommes responsables de nos actions, de notre langage, de notre comportement, de nos émotions, nous avons le pouvoir de choisir ce qui est bénéfique ou toxique dans notre vie.

Nous ne sommes pas responsables de la manière dont les autres réagissent et de l’état dans lequel ils se mettent. Si nous laissons faire les autres, nous leur donnons énormément de pouvoir.

Si nous reconnaissons notre colère, si nous la regardons en face sans être dans le déni nous sommes déjà sur le bon chemin.  Nous apprenons à contrôler de façon positive ces explosions de colères, à les limiter le plus possible, jusqu’à ne plus nous laisser envahir complètement et à réagir différemment face à ce que nous n’aimons pas.

Etes-vous prêt à apprendre à gérer votre colère ? Comment faites-vous ? Comment font d’après vous les gens qui ne se laissent pas envahir par cette émotion ?

 

 

 

 

 

 

 

 

A chacun sa vision du monde

Quelle est la réalité par rapport à la vision différente du monde à chacun ?

En quoi la vision du monde du voisin serait-elle meilleure que la vôtre ?

Chaque personne vit des expériences personnelles. Derrière ces expériences, il y a des représentations mentales et des interprétations, que chacun fait de manière très personnelle sur la base des images qu’il voit, de ses sensations qu’il perçoit, de ses goûts.

Quand quelqu’un nous dit ou nous fait quelque chose, nous réagissons sur la base de nos critères et nous les confondons avec la réalité. Une autre personne peut tout à fait réagir de manière complètement différente dans la même situation.

C’est notre vision subjective du monde qui détermine qui nous sommes, notre personnalité, nos comportements, notre perception de l’environnement.

Si j’assume que ma vision est la seule qui est juste, que c’est la réalité, la seule et unique vérité absolue, alors c’est fort probable que je me mets dans une situation qui risque de me limiter dans mes relations aux autres. Je me mets dans une position supérieure, sans remise en question, sans ouverture, ni reconnaissance, ni compréhension que d’autres visions et de valeur aussi intéressantes que la mienne existent.

Le risque de se renfermer sur sa propre position est l’assurance du conflit.  C’est de s’empêcher de grandir et d’évoluer comme être humain.

La construction de notre réalité dépend de 3 filtres :

  • Filtres neurologiques : nos cinq sens sont les intermédiaires des informations qui sont envoyées à notre cerveau ;
  • Filtres linguistiques et culturels : nous sommes influencés par notre culture, nos valeurs et croyances.
  • Filtres personnels : nous sommes le résultat du milieu où nous avons grandi, de la manière dont nous avons été élevés par nos parents, l’éducation que nous avons reçue à l’école, en gros nous sommes influencés par notre histoire personnelle.

Les outils PNL et coaching ont par but de nous permettre de connaître nos filtres et d’aller au-delà de notre réalité subjective, afin d’améliorer notre vie. En dépassant nos limites nous pouvons vivre plus en harmonie avec nous-mêmes et avec le monde qui nous entoure.

Schémas de pensée

Être maître de ses propres pensées et de ses émotions permet de rester centré en soi-même !

Nous devons apprendre à discerner quelles pensées écouter et ne pas écouter, car parfois elles ne sont pas utiles à notre bien-être.

Ainsi cela nous évitera d’être envahi et guidé de manière inconsciente.

Nous ne sommes pas nos pensées.

L’erreur que nous faisons trop souvent est de croire que tout ce que nous pensons est vrai, que c’est notre réalité.

Nous sommes ce qu’il y a derrière nos pensées, nous sommes un « observateur » ; ceux qui sont déjà familiarisé avec cette notion et qui pratiquent la méditation, savent ce que cela signifie d’observer tout ce qui passe dans notre mental et de le laisser aller.

En fait, nous avons la possibilité de décider ce que nous lâchons et ce que nous gardons, afin de l’attirer dans notre réalité.

Beaucoup de pensées se succèdent dans nos merveilleux cerveaux, malheureusement, elles ne nous aident pas toujours, mais sont le résultat de nos peurs inconscientes. Si nous les suivons et nous les percevons comme réelles, nous créons un état d’agitation ou de panique jusqu’à réaliser dans le pire des cas des visions catastrophiques.

Il se peut que, par le fait de concentrer notre attention surtout sur des choses qui ne sont pas positives, nous finissons par nous sentir déstabilisés, désorientés, impuissants et nous devenons victimes d’un monde que nous n’aimons pas, un monde dans lequel nous sommes emprisonnés.

La perte d’espoir provoque l’insécurité, la tristesse, la méfiance, le désespoir, l’inconfort, le sentiment d’impuissance, la passivité. Ces sentiments négatifs nous limitent fortement. Ils peuvent nous dominer et mener nos actions en enlevant notre espoir, en ne voyant pas toutes les choses positives et enrichissantes que nous avons dans nos vies.

C’est pourquoi nous devons faire attention aux schémas de pensée, à ces mécanismes que nous mettons en œuvre. Nous devons apprendre à écouter et à être présent en nous-mêmes et dans ce qui se passe en nous.

Le processus des pensées, des émotions et des comportements doit être en harmonie et en équilibre, car il se répète dans notre vie quotidienne et détermine notre bien-être, notre force, notre santé.

Essayons donc de nous observer, de voir quelles pensées spécifiques nous parviennent.  Aujourd’hui, nous avons à  notre disposition de nombreux outils de coaching  associés à des techniques modernes, dynamiques, qui nous aident à reconnaitre et à changer les schémas limitants. La PNL permet de stimuler le changement avec succès  et d’ embrasser une attitude positive .

Guérir son enfant intérieur

Est-ce qu’il t’arrive parfois d’être tellement vexé ou fâché que ton comportement est similaire à celui d’un enfant de 10 ans ou moins ?

Une situation t’a dérangée au point que tu as agi de manière impulsive. Tu as créé des conflits au travail, tu as détruit ta relation de couple, tu as arrêté de parler à ton meilleur ami.

C’est ton enfant intérieur qui s’est senti interpellé et qui a décidé à ta place. Ceci explique des comportements considérés comme inadéquats.

En effet, notre enfant intérieur, qui a vécu dans le passé des situations ou des évènements douloureux ou même traumatiques, qui se sont répétés, est convaincu que son expérience est la vérité et il ne l’a jamais remise en question.

Il est arrivé ainsi à la conclusion que « tous les hommes/femmes trahissent », « il faut se méfier de ses parents, car ils font souffrir, ils te maltraitent, ils t’abandonnent ». « L’amour entre hommes et femmes n’existe pas » « La vie est dure ».

Bien sûr, on peut trouver toute sorte de souffrance ou d’injustices vécue par un enfant, ce qui est important c’est l’histoire que nous nous sommes raconté !

De manière consciente, nous aimerions vivre différemment par rapport à ce qu’on a vécu en famille, lorsqu’on était petit. Cependant, notre schéma familial est le seul qu’on connaît et donc on le reproduit tel quel, à moins diriger nos énergies autrement.

Guérir l’enfant intérieur ça veut dire guérir des souffrances que tu as vécues quand tu étais petit. Ça veut dire l’empêcher de prendre le dessus sur toi-même, désormais devenu adulte, et te laisser mener par ses comportements qui peuvent te saboter en famille et/ou au travail.

Au lieu de l’ignorer et donc de le laisser continuer dans ce sens, il faut lui parler avec amour, avec toute la compréhension que tu as apprise au cours du temps, avec toute la patience et la sagesse d’une mère qui parle à son fils. Tu peux devenir le parent de ton enfant intérieur et te donner ce qu’il t’aurait fallu, lorsque tu as vécu une expérience douloureuse. Parle-lui, rassure-le, donne-lui ta tendresse, reste à l’écoute de ses besoins.

Je te donne un exemple :

« Salut ma petite,

Tu es mon trésor, je t’aime avec tout mon cœur et je suis là pour toi. Tu n’as plus rien à craindre !

T’es une fille intelligente et gentille. Jusqu’à présent, tu ne t’es pas sentie assez considérée, ni assez aimée. Sache que tout ce que tu as vécu t’a permis de devenir la personne que tu es devenue aujourd’hui, tu as survécu ma petite, tu as acquis de la force, du courage, tu es devenue une femme capable et admirable et pleine de qualités. Tu n’as plus besoin de te comporter comme tu te comportes. Dorénavant, je vais te rassurer à chaque fois que tu auras peur et qu’une telle situation devais se présenter. Viens dans mes bras je vais te faire pleins de câlins, tous ceux que tu mérites, car tu es une bonne fille et je t’aime. »

Ça c’est un exemple. Tu peux sans autres utiliser les mots qui te viennent du cœur, les plus appropriés à rassurer ton enfant intérieur. Sois sincère, doux/douce avec toi –même. Au début, ça pourra te paraître bizarre, mais avec un peu d’entrainement ça va devenir la chose plus normale au monde de te parler gentiment et avec tendresse.

Tu verras qu’au bout d’un moment ton enfant intérieur ou d’autres parties de toi (des sous-personnalités) arrêteront de te saboter. Tu deviendras ainsi plus conscient et responsable de ta vie. Tu deviens le créateur de ta vie et de tes résultats. Toutes les ressources de guérison sont déjà en toi. Il faut juste que tu décides de vouloir te prendre en main et de suivre ton guide, afin de te diriger là où c’est le meilleur chemin pour toi et pour ton bien-être, pour ton évolution en tant qu’être humain.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La communication qui transforme

 

« Regarde ce que tu m’as fait faire ! »

« De toute façon, tu n’arriveras jamais à (me) comprendre ! »

« C’est pas possible »

« Si mon mari savait combien je souffre, il ne ferait pas cela »

« pourquoi ne peux–tu pas faire ce que je te demande ? »

« Votre assistante m’a mal reçu, quelle sorte d’entreprise êtes-vous ? »

Les mots que nous utilisons sont très importants pour avoir une bonne communication.

Malheureusement, parfois, le message que nous voulons faire passer à notre interlocuteur diffère totalement de son résultat final.

Les mots qui, pour nous sont normaux, simples et pacifiques peuvent par contre être mal interprétés ou être perçus dans un tout un autre sens.

Ceci parce que chacun possède sa carte du monde personnelle et parce que, souvent, dans le langage courant, nous n’utilisons qu’une partie de l’information. Celle-ci reste en surface, sans permettre à l’autre d’obtenir le plus possible d’informations pour mieux nous comprendre .

Les frustrations et les malentendus dans les relations de tous les jours amènent parfois à des conflits verbaux très douloureux.

Souvent on assiste à de véritables match entre egos pour voir qui est gagnant, en oubliant toutes nos bonnes intentions d’avoir des relations harmonieuses.

Par exemple : ton mari rentre à la maison, déjà fatigué et énervé pour son travail, qui se n’est pas déroulé comme il aurait voulu. C’est la fin de la journée, chacun a ses besoins propres ; tranquillité pour l’un et de partage pour l’autre, mais voici un schémas typique qui peut se présenter :

Elle : « monologue interne :

Quelle tête qu’il a, il ne sourit pas , il est fâché contre moi ! (en quoi le fait de ne pas te sourire montre qu’il est fâché avec toi ?)

Lui : monologue  interne :

Elle me fait toujours la gueule, je sais ce qu’elle va me dire (comment le sais-tu précisément ?)

C’est un système d’interprétations, de généralisations, de distorsions en « crescendo » qui empêchent que la communication soit fluide. Elle ne permet pas de joindre notre interlocuteur avec un message clair, sans suprastructures et filtres.

En transformant nos mots, nous pouvons atténuer les sensations négatives et amplifier les effets positifs d’une conversation pacifique sans jugements.

Le langage n’est que la représentation formelle de la structure profonde liée à la compréhension que chaque personne a du monde et de son environnement.

Apprendre à communiquer de manière consciente et à bien utiliser les mots sans blesser ou rabaisser l’autre peut nous amener à créer des relations harmonieuses avec les gens qui nous entourent. En particuliers avec ceux que nous aimons.

C’est justement avec ces derniers que le défi est encore plus élevé, car ils nous connaissent tellement bien, qu’ils savent exactement quelles cordes toucher pour nous énerver.

Le but de la communication non violente est de nous apprendre à calibrer les mots et à ne pas partir dans des interprétations ou anticiper, déjà dans notre tête, ce qu’on va dire tout de suite dès qu’on aura de nouveau la parole, mais plutôt d’être vraiment à l’écoute de l’autre, des besoins qui se cachent derrière ses mots.

Avoir le respect du « monde de l’autre », dans la bienveillance et dans la tolérance, fait en sorte que l’autre se sente accepté et non jugé et n’a donc pas besoin de se mettre sur la défensive .

Les mots que nous utilisons peuvent nous ouvrir des belles relations familiales ou amicales, des collaborations intéressantes tant avec nos collègues qu’avec nos supérieurs hiérarchiques.

Par contre, persévérer dans une communication agressive, faite d’accusations et de jugements, peut soulever des murs incroyablement hauts qui nous empêchent d’avancer.

Un autre aspect à considérer est l’impact émotionnel des mots et des messages que l’on transmet à l’inconscient, qui donnant pour vrai un faux message, peut nous saboter dans la réalisation de ce qu’on désire attirer dans notre vie.

Par exemple si je dis : « je suis nulle , je n’arriverai jamais à obtenir ce poste » ou « seulement les gens malhonnêtes gagnent beaucoup d’argent ».

Donc, c’est en accordant une attention particulière à l’utilisation que nous faisons des mots que nous devenons beaucoup plus conscients et responsables de nos pensées, de nos états d’âme et des comportements qui en découlent . Nous pouvons apprendre à mieux communiquer et aussi comprendre quels sont les pièges de notre langages qui nous amènent à l’échec .

La communication intérieure que nous avons avec nous -même et avec les autres doit aller dans le même sens que nos objectifs, nos valeurs et de ce qu’on veut vraiment attirer dans notre réalité.

 

 

 

 

 

Une femme au présent, une femme présente !

La femme vit une phase de changement.

Pendant très longtemps, elle était victime de l’extérieur.

Pourtant, la femme est actrice de sa vie, elle en est même la scénariste et la réalisatrice.

C’est elle qui décide.

Le plus important est de vivre le moment présent. Parce qu’il est réalité, il n’est pas illusion.

Rien ne manque. Nul besoin de se faire du souci pour ce qui s’est passé ni pour ce qui se produira.

Sans rentrer dans le flux de ses pensées, les émotions négatives sont éliminées, le processus destructeur est désamorcé !

Qu’il est facile de se laisser envahir de soucis ou d’espérances. Comme ils semblent vrais. Pourtant, ce ne sont que des pensées…

La femme qui ne se laisse pas envahir par le passé, qui reste concentrée sur ce moment présent, s’ouvre à un monde de possibilités infinies.

Le futur n’existe pas encore. Toute l’attention mérite d’être concentrée sur le moment présent, sans mettre de pression sur le futur (j’élimine la peur).

Il est intéressant de s’observer : à quel moment un processus se met-il en place ?